Le communiqué de presse rappelle que cette expérimentation correspond à une attente forte des aidants familiaux et proches aidants de personnes âgées ou en situation de handicap, mais il souligne aussi les dangers potentiels quant à la sécurisation juridique du cadre de ces interventions et à la mise en œuvre pratique pour les structures d'aide à domicile.

La question des financements se pose, celle de la formation et du suivi médical des professionnels « relayeurs » également. Les signataires du communiqué de presse sont d'autant plus inquiets qu'aucune des propositions faites par les associations représentant les personnes aidées, les salariés et les employeurs pour améliorer le texte n'ont été prises en compte.


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