Aux côtés de la Délégation interministérielle à la prévention et à la lutte contre la pauvreté (DIPLP) et de l’Association Saint-Vincent, cette rencontre a mis en évidence une intention commune, portée par des enjeux complémentaires :

  • pour la DIPLP et Nexem, co-construire un outil d’évaluation partagé, utile à la fois pour piloter les politiques publiques et nourrir le plaidoyer ;
  • pour les associations, affiner leur compréhension des effets de l’accompagnement sur les publics ;
  • et pour les financeurs, disposer de retours concrets issus du terrain.
     

Une ambition partagée entre institutions, terrain et têtes de réseau

Cette table ronde a été l’occasion de réaffirmer une conviction forte : la mesure d’impact ne doit pas être un simple outil d’évaluation, mais un levier stratégique de transformation. Pour cela, il est essentiel de construire des référentiels partagés entre acteurs publics, associatifs et réseaux, afin de rendre les actions plus lisibles, plus efficaces, et mieux alignées avec les besoins des publics.

Nexem, en tant que tête de réseau engagée dans la construction d’une démarche d’impact sectorielle dans le cadre de LCEP (Lutte contre l’exclusion et la pauvreté), porte cette dynamique avec conviction.

« Notre objectif ne se limite pas à introduire la mesure d'impact social au sein des organisations. Nous visons à en faire un dispositif généralisé, un véritable levier de pilotage, de management et d’innovation. »
Özlem Kaya, cheffe de projet Innovation sociale au pôle Offre sociale et médico-sociale 


Et maintenant ?

Ce rendez-vous confirme que l’impact est plus que jamais au cœur des préoccupations du secteur social et médico-social. Nexem poursuivra son engagement en 2025 pour faire de la mesure d’impact un outil partagé, accessible, et utile à tous les acteurs de terrain.